Vient de paraître
Bataille de la vie, comment réussir dans les affaires à Kinshasa ?

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Vient de paraître
Bataille de la vie, comment réussir dans les affaires à Kinshasa ?

’Bataille de la vie, comment réussir dans les affaires à Kinshasa ?’’ est un ouvrage qui vient de paraître aux éditions panafricaines Afrique Libre et sous la plume de l’homme de Dieu et d’affaires ghanéen vivant à Kinshasa, le Pasteur Nelson Ashorm.
Dans cet ouvrage de 116 pages qui a d’ailleurs été l’objet d’une très large exposition à la fête du livre de Kinshasa qui vient de se clôturer, le Pasteur Ashorm parle de ses 18 ans de carrière en République Démocratique du Congo qu’il dit demeurer, pour quiconque désirant réussir dans le monde des affaires dans la capitale congolaise, une vraie source d’inspiration qui pourra l’aider à la fois à bannir les tâtonnements et à atteindre des résultats voulus face à des situations jugées ambiguës.
‘’Nous aspirons tous réussir dans ce que nous faisons, mais parfois nous oublions ce qu’il faut connaître pour réussir. Dans chaque aire géographique, l’impulsion de ce concept réussir est appréhendée sous plusieurs optiques’’, c’est ce qu’il souligne à la page 20 du livre.
Durant quatre chapitres, l’auteur parle aux étrangers qui ont choisi Kinshasa comme leur ville d’affaires, de ce qu’ils doivent faire pour mieux s’intégrer dans cette nouvelle culture sociale’’, ‘’de cinq règles qu’ils doivent prendre en compte s’ils veulent réussir dans ce monde des affaires’’, de ce qu’il leur faut pour y réussir’’ et enfin ‘’des exigences de la réussite dans cette ville commerciale pleine de nationaux et de ressortissants étrangers’’.
Déjà dès le premier chapitre l’homme d’affaire ghanéen tire l’attention du nouveau ou du futur homme d’affaires à Kinshasa sur sa curiosité de connaître et d’intérioriser la culture de ce milieu d’affaires et ses environs à laquelle il faut qu’il associe son sens de leadership, ses prénotions dans le monde des affaires, le maintien de sa conscience positive, peu importe les nouvelles et faits décourageants qui peuvent se prêter à sa perception, ainsi que son ouverture d’esprit d’apprentissage. Ce qui l’aidera, souligne-t-il, à avoir une détermination jusqu’au-boutiste.
Parlant de l’ouverture d’esprit d’apprentissage, l’auteur pense, à la page 32, au conseil que lui donnait son père, william dotse ashorm, qui n’arrêtait de lui dire : ‘’La tête qui refuse d’apprendre aujourd’hui, finira plus tard par transporter les bagages des autres’’.
Pour aider ses lecteurs à réussir dans le combat de la vie, l’homme donne à la page 21 quatre préalables que sont : la vision d’entreprendre, le choix, la volonté et le sens de responsabilité.
Il parle de la vision à la manière du Pasteur David Oyedepo qui la définit de la même manière que l’on définirait le mot ‘’futur’’. ‘’Ta vision, c’est ton futur’’, a-t-il l’habitude de dire.
Au regard du choix, il le veut fondé sur des convictions personnelles de l’individu qui tient à réussir dans le monde des affaires à Kinshasa.
C’est à partir de la page 43 que l’auteur aborde son chapitre 2 où à ces quatre préalables, il ajoute les cinq règles qu’il dit pourvues de la vertu de contrôler les actions de tout celui qui s’engage dans le combat de la vie d’affaires à Kinshasa, avec au premier plan ce qu’il appelle le pouvoir de l’information. Il fait suivre celui-ci de l’acceptation, par le nouvel homme d’affaires, de la situation qu’il a trouvée sur le lieu ainsi que des problèmes et risques qu’il se doit d’affronter, sans qu’il n’oublie le climat de confiance qu’il doit y susciter, avec humilité, pour le compte de ses nouveaux collaborateurs, en mettant en valeur ses compétences au profit de soi-même et de ces derniers.
Pour mieux expliciter sa pensée autour de ces préalables, Pasteur Ashorm met en épigraphe quelques auteurs.
Par rapport au pouvoir qu’a la relation des faits, significatifs ou pas, il prie ses lecteurs de ne jamais oser banaliser une information, mais plutôt l’analyser ou la canaliser vers d’autres sources pour vérification. C’est ce que nous avons apporté à la page 46 : ‘’La diffusion d’une information rencontre, au regard de ses effets perlocutoires, trois sortes d’auditeurs : celui du groupe A l’analyse ; celui du groupe B la banalise ; celui du groupe C la canalise vers d’autres sources pour vérification’’.
Sur le plan de la situation trouvée sur le terrain, par le nouvel homme d’affaires, avec ses problèmes et risques, ce businessman chevronne a fait le choix de faire parler à la page 49 Tomaz Mazurek qui révèle : là où il y a trop des problèmes, il y a trop de solutions’’.
Pour étayer son dernier préalable, celui relatif à la mise en valeur de ses compétences, Nelson Ashorm fait intervenir Jonathan Ifonda à la page 60 qui affirme: ‘’celui qui veut aller loin dans les affaires de la vie, doit comprendre comment se faire remarquer avec ses compétences, sans s’attendre aux bénéfices immédiats’’.
Dans son 3e chapitre, qu’il a intitulé ‘’Ce qu’il faut pour réussir dans le monde des affaires’’, le Pasteur Nelson Ashorm parle de nouveau de la vision d’entreprendre que doit avoir le nouvel homme d’affaire à laquelle il ajoute son expérience créative, son sens de planification, ‘’son audace d’oser’’, sa persévérance, son excédent financier, sans oublier sa détermination.
Pour mieux parler de la détermination, l’homme de Dieu fait une fois de plus appelle à nous à la page 86 pour éclaircir en ces termes :
‘’Il ne suffit pas seulement de persévérer ; mais encore faut-il percer vers toutes les zones dites sombres. Un trésor est dissimulé dans l’ombre’’.
Rappelez-vous des informations décourageantes auxquelles nous avons fait allusion ci-haut.
Ses quelques indicateurs et exigences sous-jacentes à la réussite dans le monde des affaires à Kinshasa et qui font l’objet de son 4e et dernier chapitre, l’auteur les livre à la page 95. Il met en épigraphe à la page 97 la pensée de Voltaire qui dit : ‘’Le premier pas que nous faisons dans la vie est celui dont dépend le reste de nos jours’’.
‘’En réalité les grandes victoires dans la bataille de la vie commencent par des petites victoires remportées dès le faible commencement’’, déclare-t-il à la même page.
Donc, il est question pour le nouveau ou futur homme d’affaire à Kinshasa, à en croire Nelson Ashorm à travers ses exigences de la réussite, de ne pas minimiser ses petites victoires remportées dès la phase initiale et en même temps de savoir privilégier ses priorités. C’est ce que confirme l’auteur, à titre respectif, à la page 102 et 105.
Au sujet des objectifs à atteindre, l’homme d’affaires conseille à ses lecteurs de toujours savoir comment repartir ces derniers si réellement ils tiennent à aller plus loin dans les affaires à l’étranger. LE TONNERRE

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